Après avoir travaillé plusieurs années dans le milieu scientifique sur des thématiques telles que le diabète, l’obésité et le cancer, j’ai pu constater que, dans la recherche fondamentale en biologie, seule la fonctionnalité du corps était prise en compte.
Par une suite de circonstances, j’ai décidé de me former à l’école « source » de la sophrologie afin de bénéficier du véritable enseignement issu du créateur de la sophrologie : le professeur, neuropsychiatre, A.Caycédo.
J’ai ainsi suivi une formation de coach professionnel. Au cours de ma formation de coaching, je me suis « régalée » avec la puissance des outils enseignés comme par exemple la PNL (Programmation Neuro Linguistique).
Autour de moi, lors des différentes formations, on parlait beaucoup de l’hypnose. J’avais une croyance limitante sur l’hypnose, je pensais que c’était dangereux, que ceux qui pratiquaient cette technique avaient un gros ego etc.
Je dis parfois, dans mes groupes ou en individuel, que quand on doit faire quelque chose, tout nous pousse vers cette chose et c’est ce que j’ai pu expérimenter avec l’hypnose.